Un peu de réconfort? [PV]

Et voila, une journée comme Emy les détestait...Pourquoi lorsque tout allait bien et s'arrangeait, elle arrivait avec ses gros sabots et elle détruisait tout, enfin du moins une partie de ce qui était important pour elle...Elle voulait se retrouver seule, elle était passée par chez elle, pour voir son nouvel appart, elle n'y était pas encore passée étant donné qu'elle vivait encore pour un peu de temps chez Lex...Personne n'était là, un panier de pomme trainnait avec un mot de Raffaella, la concierge du batiment...Elle prit le mot, croqua dans sa pomme en même temps, elle machait ce morceau, tout en regardant ces lettres griffonées pour acceuillir les coloc qui venaient d'arriver...C'était tout elle, la gentillesse incarnée...Et dire que quelques heures auparavant, elles se disoutaient comme des chiffonières, pour une histoire bête finalement...Emy était partie soulagée de voir ce sourire que raffi lui avait adressé avant qu'elle parte...Mais, il y avait cette lueur qui avait disparue...Mais elle reviendrait petit à petit...

Elle reposa le mot, le sourire aux lèvres puis s'en alla se promener, elle voulait voir chris , ele en avait besoin, mais elle n'osait pas lui demander de se retrouver, c'était comme si elle cédait, et qu'elle tombait dans ses bras, alors qu'elle voulait vraiment garder un peu de distances entre eux deux pour repartir sur de bonnes bases et tres solides...Elle descendit l'escalier, comme à son habitude, puis décida de prendre le chemin qui passait derrière le quartier...Il longeait les batiments, ceux dans lequel vivait raffi l'an dernier, et puis le Starbuck, où emy avait pris so premier café avec Lex, que de souvenirs ici, en si peu de temps...Elle aiamit se souvenirs des gens qu'elle avait rencontré ici...Et puis elle se retrouva au même endroit que cet apres midi, l'entrée du Parc avec à l'intérieur la jolie plage artificielle...Et quelle plage, c'était là que chris et emy avait échangé leur premier baiser, elle était si triste tout à l'heure, et voici que maintenant, elle avait un large sourire aux lèvres en repensant à cette fameuse bouteille d'eau...

Elle pris alors le chemin qui menait à cette plage, elle appellerait Christopher juste apres ou bien il pourrait peut etre la rejoindre ici, elle flanait les yeux vers le Lac, et cette charmante plage...elle pressa même le pas, pour tenter d'arriver plus vite, comme une enfant pressée de retrouver ce qu'elle aiamit le plus au monde...C'était presque ça, sans cet endroit , Chris et elle n'aurait pas pu construire cette jolie histoire au final...Elle regarda autour d'elle, personne ne se trouvait ici, elle était seule sur cette étendue de sable face à l'eau, elle essaya de retrouver l'enndroit où ils s'étaient installés, puis s'y assit...Elle replia ses jambes, en regardant en direction de l'eau...Ses yeux peu à peu s'emplissaient de larmes, elle craquait, trop d'émotion dans un si petite journée pour le pauvre petit coeur encore un peu sensible de la jeune fille...Elle rentra la tête dans ses genoux et fondi littéralement en larmes, elle ne pu se retenir, c'était impossible...Elle repensait à tout, et regrattait les mots qu'elle avait prononcé envers raffi, et puis en même temps se sentait totalement incomprise par son amie, elle avait besoin de se sentir comprise, un peu comme un soutien...Mais personne ne pouvait le lui donner...

Creg marchait vers le lac.
Pourquoi? Il s’en moquait bien. D’ailleurs, depuis quelques temps, il se moquait un peu de tout. Son retour à New York n’avait pas bien tourné, mais malgré tout, il était revenu à l’University. Espérant, probablement, rencontrer tout ses amis. Creg n’avait plus la même joie de vivre qu’à l’habitude. Peut-être qu’en venant ici, il pourrait s’évader un peu plus? Ou bien juste regarder le temps avancer.

C’était le soir. Creg avait prit l’habitude de sortir, car s’était le moment le plus calme de la journée. Le problème était qu’il s’enfonçait de plus en plus dans ses pensés sombres et il en était au courant. Comment tout arrêter? Comment faire pour rester hors de l’eau quand on se sent retenu par les ténèbre. Mais voulait-il vraiment s’aider? Peut-être que oui ou peut-être que non. Quoiqu’il en fût, il voulait oublier ce qui venait de ce passé à New York.

Son attention fut prise par la personne qui était assise près de l’eau. Son regard verdâtre scrutait le noir pour tenter de distinguer qui était l’intrus ou l’intruse. Il se rapprocha à pas léger vers la personne pour enfin la reconnaître. C’était Emy. Pourquoi ne pas aller la voir tant qu’à se trouver ici, en cet instant. De toute façon, il n’avait pas prévu de voir d’autres personnes… ou plutôt, il ne voulait pas en voir. Creg mit les mains dans ses poches en s’approchant d’elle. Lorsqu’il fut à sa hauteur, il crut entendre des sanglots.

Comme si tout n’était pas assez pour lui, mais il ne pouvait pas vraiment la laisser dans cet état. Elle était quand même une de ses amis, enfin, croyait-il. Jamais il ne s’attendait à voir une femme si pleine de joie, pleurer ainsi. Comme son tempérament d’altruiste prenait le dessus, il se dit qu’il devait sûrement lui demander qu’est-ce qui n’allait pas. C’était un peu stupide de sa part et assez déplorable comme demande. Il devait faire quelque chose. C’est alors qu’il s’assit à côté d’elle sans un mot. Et il posa son regard sur elle. Il entoura ensuite Emy de ses bras et il la serra contre lui.

Pourquoi? On s’en moquait bien. Peut-être un élan de compassion, mais Creg avait envie de sentir la chaleur de quelqu’un. C’était la seule chose qui réchauffait le cœur. Comme si le fait de donner de l’amour ou, dans se cas, de l’amitié était une sorte de délivrance soulageante. Il ferma, pour la millième fois, ses yeux. C’était dans ses moments qu’il revoyait tout les tords qu’il avait reçus dans son visage par l’intermède de sa mère. Chaque détail était visible dans son esprit. Des larmes commençaient à lui monter aux yeux. Surtout pour la mort de son père. Et même les yeux fermés, il ne pu la retenir. Une larme glissa doucement sur sa joue pour ensuite déferler sur son coup. Il prit une grande inspiration et ouvrit les ses yeux humides pour regarder Emy.

« Je ne vais pas bien… non plus.»

C’était la seule chose qu’il prononça. À quoi bon dire : Bonjour, tout va bien? Pour se faire répondre ensuite : Non. Alors on dirait : Comment cela? Et bla, bla et bla. Il tenait toujours Emy serré contre lui. Pour Creg, il n’y avait aucune notion de petit ami ou autre chose tout aussi futile. Ce qu’il venait de faire était purement de l’amitié. Elle le prendra comme elle voudrait, mais le fait de partager sa peine est toujours mieux que de tout garder. Creg ne lui sourit pas, son moral n’était pas très bien.

Quelqu'un arriva alors derrière elle...Elle n'osa pas se retourner, c'étit peu être pas tres prudent de se promener le soir toute seule ici, alors que personne ne s'y trouvait...Et puis de toute façon, elle était tellement mal, c'était complètement la folie dans sa tête, alors si quelqu'un venait la déranger et lui causer des ennuis, elle serait vraiment capable de lui donner un coup pour se défendre, rien que la rage qu'elle avait en elle, aurait pu faire vraiment tres mal...Mais cette personna arriva à pas tres doux, surement une personne qu'elle connaissait, elle aurait aimé voir chris, mais il ne l'avait pas appelé il ne pouvait donc pas encore la rejoindre, et puis comment aurait il pu savoir qu'elle se trouvait, ici, cela aurait pu être une chose surprenante...Mais un joli rêve...

Elle pleurait, peut etre de plus en plus, elle ne pouvait plus s'arrêter, elle se sentait plutot seule, Chris était oui, mais elle devait encore lui parler, et puis elle venait de perdre un lien précieux pour elle, cette amitié avec Raffi, elle était si forte, qu'elle se sentait peu à peu détruite par le fait que son amie ne veuille pratiquement plus lui adresser la parole...A qui allait elle raconter son histoire avec Christopher, cette amour naissant, mais elle n'était pas prete...Ce qui rendait Emy encore plus malheureuse...

Elle restait la les yeux dans le vague , en oubliant presque qu'une personne était derrière elle...Elle voulu alors se retourner pour voir qui était planté dans son dos, mais elle n'eut le temps de dire quoi que ce soit, que cette personne avait prise Emy dans ses bras, comme si ce garçon avait compris qu'elle avait besoin d'un contact comme celui là, pour qu'elle puisse alors se sentir bien...Elle le va les yeux, c'était Creg...le fait de le savoir à ses coté lui donna le sourire, mais tres vite les larmes revinrent et c'est alors qu'elle éclata en sanglots dans les bras de son ami...Elle l'avait vu en vacances, ils avaient un peu discuté, ils avaient passé du temps ensemble, avec les couples, et puis ils s'étaient perdu de vue...Elle était partie trop vite avec Chris, pour dire au revoir aux autres...Mais ce qui préoccupait emy à l'instant où Creg, la serrait fort, c'était les mots qu'il avait prononcé...Lui non plus n'allait pas bien, que pouvait il se passer dans ses esprits, lui qui était si gentil, et si souriant...Il semblait tellement mal, et puis sa mine était tellement pâle...

Elle stoppa un peu ses pleurs, puis resta un instant dans les bras de Creg...Pour finir, elle se recula un peu, mais elle consevva un des mains de son ami dans les siennes, comme pour lui rendre ce qu'il venait de lui donner...Elle le regardait les yeux pleins de larmes, lui n'était guère mieux, qu'avait il pu se passer...Elle ne voulait pas le lui demander, s'il voulait parler pour soulager son moral, il le ferait par lui même, Emy en avait besoin, et elle avait envi de le faire, mais elle n'avait pas non plus envi de faire retomber ce jeune homme dans le malaise qui l'avait envahi...elle frotta sa main puis utilisa un toon extrement doux pour lui parler...

"Et bien on est deux...Si tu veux parler tu peux vas y je t'écoute...On est mal, alors autant se remonter le moral, si je peux t'aider, tu sais j'ai perdue ma meilleure amie, et puis elle ne veux pas comprendre que je puisse aimer quelqu'un qui m'a fait souffrir...Enfin, exprimes toi...Ca fait du bien!Les mis c'est fait pour ça, non?"

Elancer dans ses bras, malgré ses pleures, Creg se sentait enfin un peu mieux. Surtout qu’il ne s’était pas sentit ainsi depuis plusieurs moments déjà. Elle éclata en sanglot. Disons que le jeune homme s’en attendait un peu. Il ne voulait pas vraiment savoir ce qui se passait. Il aimait d’autant plus tout comprendre seulement par les gestes et par le regard. Là est la vrai compréhension d’une personne. Quand une personne comprend votre souffrance sans rien dire, sans rien demander, c’est dans ces moments que le mot compréhension prend tout son sens.

Creg n’avait jamais encore vu Emy dans cet état. Ne sachant pas comment celle-ci réagira à ses dires, il préféra rester prudent. Lui aussi avait un malaise profond c’est temps-ci, mais comme il n’avait rien dit à elle et à Raffi, il se devait de le faire. Pour le moment, il continua de l’enlacer dans ses bras, car c’est ainsi qu’il sentait sa souffrance épongée par Emy. Creg n’avait jamais peur de pleurer devant quelqu’un. Les garçons ne sont pas nécessairement de gros durs, ils restent tout de même des humains normaux.

Creg ne retint pas Emy plus longtemps lorsqu’elle se recula. Creg l’observa dans ses yeux et il lui semblait qu’il voyait sa peine. A quel propos ? Comme toutes les filles : Les garçons ? Il en douta légèrement. Il n’y à pas que cela dans la vie non plus. Néanmoins, Creg espérait que cela n’était pas trop grave. Pour une personne, un problème peut devenir une montagne, mais pour l’autre, c’est une colline. Ensuite, Emy garda sa main dans la sienne, comme pour continuer à lui donner de la chaleur. Creg sourit malgré lui à se geste.

Ses paroles le réchauffèrent autant. Elle voulait savoir, comme toutes les femmes, d’ailleurs. Creg avait l’intention de tout lui dire. Il ne croyait pas remonter la pente aussi facilement, mais il n’en coûtait rien de tester. Il garda sa main dans la sienne, n’aillant pas peur des remarques d’autrui. Il avait besoin de quelqu’un, d’une personne qui pouvait l’aider. Il ferma doucement les yeux en inclina de la tête, puis il dit :

«Il c’est passé quelque chose cet été. Mon père est mort. »

Creg ferma les yeux pour laisser quelques larmes s’échapper. Sa tristesse était dure à retenir, mais il ne devait le faire pour parler à Emy le plus convenablement possible ou plutôt le plus clairement possible. Il ajouta ensuite :

« Ensuite, je suis retourner à New York. Cela ne c’est pas passé comme prévu. Ma mère ne voulait pas que je retourne à l’Université. Elle…»

Il hésita. Creg referma ses yeux sous l’émotion. C’était difficile de dire quelque chose. Il sentait encore tout ce qu’il avait pu ressentir cette journée là. Seulement, Emy méritait de savoir. La raison majeur qui faisait qu’il avait mal était le fait que sa mère ne lui avait jamais parlé ainsi. Il prit un faible respire, puis continua :

« M’a dit des choses que personne ne voudrait entendre. Je… Je ne crois pas faire quelque chose de mal. J’ai le droit de vivre, je crois… Et…»

Mais Creg se tut. Il préférait garder ce bout pour lui-même. Celui qui rongeait son cœur : L’amour qu’il éprouvait encore pour Loann. Probablement que Emy aurait aimer savoir, mais il n’avait pas envie de dire quoi que ce soit la dessus. Peut-être qu’un jour, il déballerait tout. Pour le moment, il valait mieux en rester ainsi. Creg était toujours assit aux côtés de son amie, il sentait toujours sa main contre la sienne. Un peu de réconfort ?

Lorsque Creg lui annonça la nouvelle, elle fut sonné d'un coup, comme si son problème était tout à fait futile apres ça...Elle resta un moment sans rien faire juste à regarder ce jeune homme tout à fait décontenancé...Il pleurait, ce qui sur le moment surprenait emy, voir un homme pleurer, c'était tout à fait inhabituel, elle avait vu des larmes sur les joues de Chrisopher, lorsqu'elle était partie sns dire un mot, mais c'était rare qu'un garçon ne soit pas timide de son ressenti...Il ne pouvait pas cacher cet épisode malheureux de sa vie, et si il avait choisi Emy pour se soulager , et bien elle ne bougerait pas et l'écouterait jusqu'au bout...Cette fin de vacances n'avait pas qu'apporter du bonheur dans les coeurs, le pauvre, il devait être effondré...Apprendre la mort de son père apres de superbe vacances, cela devait être réellement insupportable...Elle ne savait plus vraiment quoi dire, trop parler aurait pu lui rappeler de plus mauvais souvenirs encore, il fallait plutot le rassurer, que de l'enfoncer...

C'est alors qu'elle essuya ses larmes, du coup ses ennuis s'étaient envolés, puis elle lacha la mein de Creg, pour s'asseoir face à lui, elle le regarda un tres léger sourire aux lèvres, elle voulait juste le rendre plus léger en se confiant à elle, comme elle aurait voulu que raffi le fasse il y a quelques heures de ça, s'il avait besoin de quelqu'un, elle était disponible, elle appelerait Chris apres, elle n'était pas pressé, et puis de rester ici, avec son ami lui permettait aussi d'oublier ses soucis...Elle lui tapa sur le genou, puis lui parla d'une voix extremement douce...

"Oh mon Dieu, Creg je suis sincèrement désolée pour toi...'imagine que tu ne dois pas aller fort mon pauvre...Si tu veux dicuter je suis là, je t'écoutes..."

Puis il avait continué à raconter ses problèmes, puisqu'un malheur n'arrivant jamais seul sa mère le rejettait pour elle ne savais pas encore quelle raisons...Elle n'osa pas demander plus de détails, il le ferait s'il en avait envi, des choses comme celles là n'était pas à prendre à la légère...S'il devait prendre son envole sans vraiment le vouloir juste apres la perte d'un membre cher à sa vie, c'était vraiment méchant de la part de sa mère...Mais, elle n'osa pas le dire, ce qu'elle pensait parfois elle devait le conserver pour elle, pour éviter de faire mal, surtout quand ceux ci n'allait vraiment pas bien...Mais pourtant, ils n'allaient pas rester là, dans le regard plein d'émotion, elle devait parler, et réconforter Creg en utlisant les bons mots...C'était assez paradoxale finalement,elle qui se sentait au plus bas vanait de tomber sur un de ses ami encore plus mal portant qu'elle, mais pourquoi tout allait mal autour d'elle, les choses devraient s'arranger parce qu'elle ne supportait plus les nouvelles du genre, elle tomberait vraiment mal et sans Raffi pour l'écouter, pour une fois elle devrait se débrouiller vraiment seule...Elle était resté face à lui, sans bouger, juste à le regarder encore...Puis, elle lui fit un grand sourire...

"Et bien, mon pauvre, je suis vraiment triste pour toi, quand la vie s'acharne, on ne peut rien faire, mais là, je comprend que tu ailles mal, et je te répète que mon épaule sera toujours présente lorsque tu voudras t'y reposer..."

Elle lui fit un bref clin d'oeil avant de reprendre...

"Je ne sais pas ce que ta maman a pu te dire, et je ne te force pas à me le dire, mais j'aimerais comprendre, et puiss urement que de me raconter, tu irais cent fois mieux...Mais si tu ne te sens pas pret, on change de sujet et on va parler de mes soucis..."

Elle rit même un peu, si jamais cela pouvait le faire sourire, c'téait le but recherché...

"Et oui désolée, je n'ai rien de tres drole à te raconter...Visiblement, on a du nous jetter un sort..."

Elle s'était remise à sa place initiale aux cotés du jeune homme face à l'eau, elle souriait mais il n'était pas vraiment tres naturel...

C’est temps-ci, non il n’allait pas très bien. Le souvenir du bar repassait dans sa mémoire. Pourquoi avait-il osé faire cela, puisse qu’il connaissait les conséquences néfastes sur son entourage. Il avait simplement eut envie de tout oublier, de s’éloigner et d’être sur un autre problème pour ne pas supporter tous les obstacles qui sautaient dans ses jambes. Creg n’avait eu qu’une attitude lâche, comme tout les gens un moment donné, dans leur vie. Alors, il avait prit le chemin du bar et il avait bu. Bu en s’en rendre ivre. Il n’y avait pas de réponses. Pourquoi en aurait-il une? C’était simplement simple, voilà tout. Point à la fin de l’erreur.

Personnellement, Creg sentait que Emy voulait l’aider, mais il voulait lui aussi l’aider. Il n’y voyait pas d’inconvénient à tout raconter. Même s’il pleurait, c’était déjà un peu trop tard pour devenir pudique. Creg était au courant que certaines filles trouvaient cela étrange qu’un homme pleure. Mais si «Dieu» à donner la capacité aux hommes de pleurer, alors ce n’est pas si mal que cela. De plus, Creg s’y attendait, elle sembla abasourdie. Il est évident qu’on ressente cela. La mort nous à été enseigner pour qu’on la craigne. Comme si c’était la fin de tout… Plus rien ensuite. Peut-être qu’il y avait autre chose qui sait? Seulement, Creg était au courant que son père n’aurait jamais voulu qu’il reste à New York pour le pleurer éternellement. De ce fait, Creg était revenu pour tenter de continuer une vie normale. Enfin, le plus possible. Le jeune homme ne voulait pas laisser les gens qu’il avait connus ici. Quoi qu’il en soit, il remercia intérieurement Emy. Il était au courant que cela ne tournait pas rond pour elle non plus et qu’elle avait besoin d’aide aussi, malgré tout elle s’intéressait à ses problèmes.

Il la regarda s’asseoir juste en face de lui. Il ne bougea pas d’un centimètre, il la suivit du regard, simplement. Creg hocha encore de la tête, signe de compréhension. Il avait bien l’intention de lui en parler. Et de toute façon, c’était dans la nature féminine d’être curieuse sur tout. Il fit un petit sourire rassurant à Emy. Puis, il dit :

«Ne t’en fait pas… Je suis au courant que je n’ai rien dit… Mais tout est arrivé…si… rapidement.»

La journée de son départ de ses vacances avait été très sombre. Malgré le soleil qu’il y avait régner. Dans la tête de Creg tout était sombre, sans couleur, sans joie. Seule Ann avait été là lors de l’annonce. Ensuite Creg avait prit le taxi vers l’aéroport la plus proche le lendemain matin, très tôt. Pendant les deux semaines qui suivent le tout, il avait eut le droit à l’exposition, la cérémonie et l’enterrement. Aucun moment pour lui. D’ailleurs, il avait reçus une somme importante d’argent dans son compte, à cause des assurances de son père. Dans son testament, il disait léguer une partie de l’assurance vie à son fils unique. Pour ce qui était du reste, cela allait à son épouse, c’est-à-dire la mère de Creg. C’est pourquoi en venant ici, Creg n’avait pas vraiment peur de manquer d’argent. Pour le moment, il ne souhaitait pas travailler. Raisons personnelles.

Le sourire d’Emy le réconforta un peu plus. Bien qu’il restait beaucoup de mal à l’intérieur. Néanmoins, il s’avait avec qui parler. La vie ne s’était pas vraiment acharnée sur lui, mais plutôt sur son père. Là était toute la différence. Creg rendit son sourire. Bien qu’il n’était pas spécialement joyeux, il devait bien montrer qu’il allait mieux et non qu’il s’enfonçait. Il lui dit ensuite :

« Merci.»

Emy voulait savoir ce qui c’était passé avec sa mère. Semblerait-il qu’elle n’avait pas oser le demander jusque là, mais Creg avait eut l’intention de tout raconté. De toute façon, c’était tout ou rien, lorsqu’on se confie. Cela lui rappela, malheureusement ce qui c’était passé. Creg sentit son cœur se serrer. Il savait que ce n’était pas de la faute d’Emy, mais il devait se débarrasser de tout cela. Sinon, un jour, il explosera sur la première personne qui passera. Il sourit lorsque Emy fit une blague. C’était plutôt vrai, la vie ne leur avait pas vraiment fait un cadeau. Et tout les deux ils n’avaient rien à dire de bien joyeux. Creg dit alors :

«Je ne crois pas que c’est un mauvais sort. Cela nous aura permit de discuter. Et de se rapprocher un peu plus. »

Il fit un clin d’œil lui aussi. Maintenant, ils devaient passer aux choses sérieuses. Creg se replaça doucement pour être un peu plus confortable. Elle était retournée à ses côtés, donc, il étendit ses jambes vers l’avant. Ensuite, il passa ses bras derrière lui pour se retenir avec ses mains qui touchait le sol, maintenant. Il tourna la tête en direction de Emy, puis il se lança à l’eau (Sens figuré) :

« Elle ne voulait pas que je retourne ici. Elle me disait que j’avais des responsabilités à New York. Moi, ce qui m’intéressait ce n’était pas la vie là bas. J’ai apprit beaucoup en devant ami avec Raffi et Loann. D’ailleurs, j’ai rencontré une autre personne, qui à besoin de moi ici, je lui avais promis… »

Il marqua une pause, car il retomba dans ses souvenirs. Creg repensa à la fois où il avait sut pour son père. Les mots que la jeune fille lui avait dit resteront à jamais gravé dans sa mémoire…

« Creg, reste avec moi je t’en supplie… »

Creg en avait eu des frissons. Comme si le poids de ses paroles l’avait profondément troublé. C’était le cas d’ailleurs. Creg avait fait une promesse et maintenant, il devait la tenir. Il ne se sentait plus assez fort pour accomplir ce qu’on lui demandait. Cela le rendit encore plus coupable. Il se sentait si… impuissant. Il reprit ensuite, après quelques secondes de méditation :

« Elle me disait sans cesse que je devait rester. Je me suis énervé. Ensuite, ce fut son tour. Elle me rendit responsable de tout. De la mort de mon père… surtout. C’est quand je lui avait dit que je voulait revenir qu’elle s’était le plus énervé. Comme si je devais rester à New York. Comme si je devait rester pour… pour…»

Il se redressa soudainement. La colère la tristesse revinrent le harcelé. Il ne pouvait plus se retenir, il avait du mal. Il se mit soudainement à tremblé. Il souffrait tellement, il en avait mal au cœur. Le genre de souffrance qui ne s’explique pas, car aucune émotion n’est associé à cela. Il se jeta soudainement dans les bras d’Emy, couchant sa tête sur son épaule en la serrant fortement. Il dit ensuite de sa voix brisé par ses pleures :

«Emy… Est-ce que… J’ai fait quelque chose de mal? J’ai…Si mal… Si…J’aurais du resté? Comme on… me le demandait?»

Il serra les points dans le dos d’Emy en ferma les yeux fortement. Il pleurait oui, mais il avait si mal. Tout ce qu’il avait fait ici depuis son arrivé, c’est de se morfonde sur tout et sur rien. Creg en avait mare, au début, il était heureux de prendre du recul avec ses parents. De sortir de son chez soit pour se sentir vivant. Pour se sentir comme une entité extérieur à la vie familiale. Creg avait retenu sa peine en tenta de l’oublier, en tentant de l’étouffer. Creg n’avaient, en fait, que tout refoulé. Emy était sa bouée de sauvetage. Peut-être que si c’était une autre personne, il aurait fait la même chose. Il resta ainsi, en serrant Emy. Il ne voulait plus lâcher pour ne pas tomber. Il dit ensuite :

«Excuse-moi Emy… Je sais…que tu as autant de problèmes… Je…»

Il se tue. Creg ne voulait plus vraiment parler. Il se sentait mal. Il repensa à Loann qu’il n’avait même pas revu depuis longtemps. Il aurait aimé être avec elle. Il ne lui avait rien avoué. Comme à son habitude. Pourquoi est-il aussi stupide? Pourquoi n’avait-il rien dit. Il s’en voulait tellement. Une autre tonne qui tombait sur son dos. Un autre poids extrêmement lourd. Creg se sentait étouffé, étouffé par tout. Tout se refermait sur lui. Comme un prisonnier entre quatre murs. Non, il aurait du… Tout lui dire. Peut-être serait-elle revenue ici? Cela faisait maintenant la deuxième fois que la personne qui habitait son cœur partait. Reprenant un peu sur lui-même, il dit :

«Il y a aussi Loann. Je ne lui ai rien dit Emy… Je suis tombé amoureux d’elle. Et elle n’est pas revenue. C’est la deuxième fois que cela m’arrive. Je suis maudit. Avec ma meilleure amie, il y a plusieurs mois maintenant. Elle est partie vivre ailleurs et je l’ai perdu de vu. Comme j’étais trop gêné, je n’aie rien dit. Je suis idiot… Tellement idiot. J’ai été trop…stupide.»

Il s’en voulait énormément. De plus, Creg se dénigrait. Cela n’était pas dans son habitude. C’était trop d’un coup pour lui, il venait qu’a se demander pourquoi il était revenu ici, si tout ce qui était autour de lui s’effondrait comme un jeu de carte qu’on souffle. Creg serrait toujours Emy dans ses bras, ne desserrant pas son étreinte. Bien entendue, il ne serrait pas la jeune fille pour lui rompre les os, mais cela le calmait. Il avait desserré les dents et les points. Il avait cependant gardé les yeux fermés. Il avait besoin d’être aidé cette fois, mais il devait aider les autres. Comment faire alors? Le pauvre, il se sentait tellement perdu. Bien sûr, Creg ne pouvait pas s’aider d’Emy si elle ne voulait pas. Présentement, il sentait la chaleur de quelqu’un de confiance. C’était tout ce qu’il désirait. D’une faible voix, il dit :

«Pardonne-moi…»

Ainsi va la vie. Ainsi va sa vie. Disons que c’était une mauvaise passe. Il espérait se sortir de se trou pour redevenir celui qu’il était avant. Creg n’était pas plus fort qu’un humain. Il était normal et sensible. C’est ce qu’il le rendait si vulnérable. Il resta ainsi, accroché à Emy. L’appelle d’une personne en détresse.

[Je veux mes gâteaux Raffi! J'ai trois pages Razz

]

Les moments que creg avait vécu à new york devaient vraiment etre horribles...En effet, emy avait vécu des disputes avec ses parents, comme tous jeune adultes se respectant...Mais de simple conflits idiots, juste parce que les parents ont du mal a voir leurs petits chéris partir loin du cocon, ou bien alors qu'ils ont du mal à comprendre qu'ils ont les esprits de leur bambins évoluent bien rapidement...Et puis, c'est la vie...Mais cette fois ci, c'était différent, il avait subit une grave perte dans sa vie, et sa mère avait dit des choses vraiment affreuses...Mais, elle aussi était seule maintenant, bien plus que creg, qui lui cic, avait des amis...Sa mère était sans l'homme qu'elle aimait, elle l'avait perdu tragiquement de plus...Ca ne devait pas être simple pour chacun des membres de la famille...Mais, elle devait rassurer Creg et lui remonter le moral, le laisser sombrer dans la déprime accompagn par les violons, elle avait assez donné depuis qu'elle était rentrée...C'est pour ça qu'elle concervait son sourire aux lèvres, comme pour qu'il tente de le lui prendre pour le mettre a son tour sur les siennes...

" Ecoutes Creg, tu sais ça n'est pas ta faute, ni celle de ta mère...La vie a été vraiment cruelle avec vous deux, et au lieu de vous chamailler vous devriez vous parlez au calme, pour mettre les choses à plat...Appelles là, ou ecris lui, si tu te sens pas capable de lui parler, mais fais lui comprendre que tu ne lui en veux pas, et que tu l'aime...Elle a besoin de 100 fois plus d'amour maintenant tu sais..."

Emy le regardait, il ressemblait à un petit arçon perdu, comme s'il ne savait plus quoi faire, alors qu'ici des tas de choses et surtout d'opportunités s'offraient à lui, il ne devait en aucuns cas baisser les bras, bien au contraire, il devait remonter la pente, et s'il avait besoin d'un ami, elle serait la pour lui...Mais le second problème se découvrit alors...Loann! a croire que Chris et elle s'était passé le mot pour disparaitre et faire de mauvais coups...Mais à la différence du petit ami de emy, Loann n'était pas revnue elle...Et creg était bel et bien amoureux d'elle...Avec Raffi, elles avaient tenté de les faire se mette ensemble, mais rien n'y faisait... Emy n'avait jamais vraiment accroché avec elle, surtout le jour ou elle appris que elle et chris passaient du temps ensemble, sans qu'ele ne le sache, mais bon, rien entre eux ne s'était passé, mais elle sentait que pour Loann si chris n'avait pas été amoureux de la jeune fille, elle aurait bien qauté sur lui...Surtout à en croire ses regards qu'elle lui jettait à longueur de temps...Mais, elle l'avait concervé pour elle, elle ne voulait pas vraiment que cela ce sache, c'était de la jalousie, et c'était peut etre faux, même si elle n'y croyait pas...Elle frotta l'épaule de Creg comme pour le rassurer mais que pouvait elle faire d'autre...Il ne la achait plus d'ailleurs, elle était là bloquer, comme si elle était là, pour qu'il se rassure...Et elle ne dit rien ce n'était pas grave...Elle voulait qu'il se sente mieux, alors si c'était comme ça, et bien elle ne bougerit pas d'un cheveu...

"Oh je suis désolée pour Loann, a croire que tous le monde n'a pas ma chance...Tu as eu des nouvelles où alors , elle est partie sans e dire au revoir?"

Il s'excusait et il ne devait pas, il n'avait rien fait de mal...

"Mais pourquoi t'excuser Creg? Tu n'es en aucun cas fautif tu sais...Allez, souris moi, s'il te plait, je sais que c'est loin d'être simple pour toi, mais écoutes, la vie continue, non? Et puis tu as des amis ici, qui t'aideront...Alors même si c'est tres difficile ce que je te demande essayes, tu ne perdras rien...Je suis sur que ton père voudrait te voir souriant , non?"

Creg ne se sentait pas capable d’une telle chose. Il ne voulait pas appeler sa mère tout de suite. Il avait si mal au fond de lui. Pour l’instant, il ne rappelait pas. Ce n’était pas par principe ni pour montrer quoique ce soit à sa mère. Il voulait attendre que tout s’entasse, que la poussière retombe. Creg ne voulait pas s’énerver au téléphone et encore moins entendre sa mère faire la même chose. Prenant soudainement confiance qu’il avait emprisonné Emy sans la relâcher depuis quelques minutes, il se redressa doucement en se détachant d’elle.

« Désolé Emy. Je ne t’ai pas fait mal? Pour ce qui est de ma mère, je ne crois pas vouloir la contacter pour le moment. Je… Je veux attendre que tout retombe, avant. Cela sera mieux ainsi.»

Il essuya ses yeux du revers de la main. Maintenant, il se sentait un peu mieux. Il était assit devant Emy. Jamais il n’aurait crut passé un tel moment avec elle. C’était plutôt étrange puisse qu’ils ne se connaissaient pas vraiment. Creg n’avait jamais réellement passé beaucoup de temps avec elle. À croire que peut-être, s’ils s’étaient parler plus de fois cet été, il aurait pu apprendre à mieux la connaître. Mais son monde à elle était un peu moins connu pour lui. Raffi avait parlé quelques fois d’Emy, mais rien de plus. Et d’ailleurs, il n’avait pas passé plus de temps avec elle non plus. Creg était partit rapidement de son été et n’avait pas eut le temps de la contacter à temps. Il s’en voulait un peu, car c’est elle qui l’avait accueilli à son entrer à l’Université.

Leur conversation ce dirigea ensuite vers Loann. Creg aurait tellement voulu qu’elle soit ici. Il avait enfin dit à quelqu’un ce qu’il ressentait pour elle. Il n’en avait même pas parlé à sa mère. Pourquoi? Il n’y avait simplement pas pensé. Évidemment, il avait pensé à Loann tout l’été, mais avoir son jardin secret est parfois mieux que tout.

« Non… J’ai quitté trop vite… Je devais repartir le lendemain pour New York. Je m’en veux, d’ailleurs…»

Emy avait pourtant raison. Il devait prendre mieux la vie, mais en ce moment, il avait du mal à le faire. Son père aurait probablement voulu qu’il soit heureux. Qu’il continue de vivre avec le sourire. Seulement, Creg ne pouvait pas écarter sa mère du décor. Voilà pourquoi il avait beaucoup de mal avec tout cela. Heureusement qu’il eut deux semaines pour évacuer la grosse partie de sa peine.

« Tu as raisons Emy. D’ailleurs, j’aimerais savoir où vit Raffi. Elle aussi je ne l’ai pas revu depuis un moment… J’aimerais m’expliquer. Tu sais où elle vit? Et pour te remercier…»

Creg fit un sourire qui semblait un peu forcé. Puis, il bouffa de rire dans sa stupidité. Il ne s’était pas vraiment forcé, mais bon. Il avait tenté. Maintenant, il voulait savoir un vivait son amie pour aller lui rendre une petite visite. Histoire de tout raconter. Elle avait le droit de savoir elle aussi. Creg espérait qu’elle ne lui faisait pas la tête. Avec Raffi tout était possible… Enfin dans l’immédiat du possible.

Le jeune homme n'avait pas l'intention de rprendre contact tout de suite avec sa mère, il devait avoir ses raisons, mais elle aurait voulu qu'il l'appelle pour la rassurer lui dire ne serait ce qu'un je t'aime...Mais, elle n'avait jamais vécu cete situation, peut etre que les émotions étaient beaucoup fortes pour faire ou dire quoi que ce soit...Mais c'était son choix elle ne rétorqua d'ailleurs rien de plus, il faisait ce qu'il voulait...Il s'était aussi excusé, elle ne voyai pas vraiment pourquoi, surement parce qu'il l'avait séré tres fort...Il était tellement gentil, que s'en était touchant de le voir ainsi...

"Oh, ne t'excuses pas creg, c'est normal tu as besoin de réconfort, je comprend, et puis à moi aussi, ça me fait du bien..."

Et puis il parla de Loann, la situation, Emy la connaissait étrangement, elle pouvait comprendre chaque ressenti que le jeune homme avait au fond du coeur, il devait se sentir bête, et puis son coeur devait le faire souffrir au martyrs, surtout qu'il avait du surmonter maintes épreuves durant ses vacances...C'était triste de voir à quel point la vie peut s'acharner sur une personne alors qu'elle n'a rien demandé et surtout qu'elle est de loin une des plus agréable personne qu'on puisse rencontrer...Elle souriait, non pas qu'elle se moquait de lui, mais elle comprennait tou de A à Z, il n'avait rien d'autre à dire...C'était a la suite de son départ, qu'il avait quitté Loann, comme c'était triste, un malheur en entraine forcément un autre...elle devait lui remonter le moral...Mais c'était peu evident de ne pas lui faire plus de mal...Si elle racontait son histoire invraisemblable avec christopher et le retour miracle, elle ne voulait qu'il se fasse d'idée au cas où il ne se reverraient pas, mais pourtant, c'était un signe d'espoir...S'il pensait que lui et elle étaient vraiment fait l'un pour l'autre alors c'était evident qu'elle remettrait les pieds sur le campus, pour lui parler et dans le meilleur des cas commencer un petit quelque chose tous les deux...Il s'en voulait alors qure rien n'était de sa faute pourtant, elle se mit alors face à lui et lui prit les deux, elle s'excuserait si cette histoire était mal venue, mais le voyant dans cet état, rien d'autre n'était venu à l'esprit de la jeune fille...

"Ecoutes Creg, à t'entendre parler d'elle, je sens comme quelque chose qui ressemble à de l'amour...Et si toi, tu ressens ça, c'est que surement elle aussi...Elle reviendra, si elle t'aime et si ça vaut la peine d'espérer selon toi, c'est qu'elle reviendra...Crois moi, j'en ai fait l'expérience, et c'est encore plus fort lors des retrouvailles..."

Rien de plus rien de moins, elle n'aimait pas s'étendre sur ses histoires de coeur, surtout qu'elle étaient fraichement reparties, mais c'était vital pour elle de lui rendre à soupçon d'espoir...Et puis il vint à parler de ses amis, en particulier, la personne dont Emy aurait bien volontier évité de parler: Raffi...Elle savait pertinemment qu'elle était aussi intelligente que emy pour comprendr la raison de son départ prématuré, mais la tension de cette apres midi avec elle, lui donnait comme une montée de tristesse, ella aurait pu pleurer, mais le momet était mal choisi, elle se devait de se retenir et puis surtout de lui remonter le moral...Elle n'aiamit pas se plaindre aux gens, même lorsqu'elle se sentait tres mal, la seule personne capable de quoi que ce soit aurait pu être Chris...Elle devait l'appeler ce soir, elle lui avait promis, mais chez elle, elle n'avait pas installé ses affaires, chez Lex impossible, peut etre chez lui, uo à l'extérieur...Elle voulait un endroit tranquille, mais elle secoua la tete, ce n'était pas la question...Elle regarda Creg avec une mine embarrassée...

"Euh Raffi...En ce moment , elle vit chez Lex, avec moi aussi...Mais disons, que nos rapports sont un peu tendus en ce moment, le retour de Chris ne l'enchante guère, alors que tout est redevenu normal...Mais on, si tu veux passer la voir, envoies lui un message sur son mobil, pour la prévenir..."

Elle pirt d'ailleurs son téléphone, il se faisait tard, et elle voulait et avait besoin à tout prix de voir son Monsieur Parfait, s'en devenait urgent...Elle s'excusa aupres de Creg, puis ecrivit un petit message pour lui demander s'il pouvait se voir, mais en attendant, elle se leva puis repris son sac, elle devait partir, pour rester seule un moent, c'était nécessaire...Elle sourit alors à son ami pour lui expliquer les raisons de son départ un peu hatif...

"Je suis désolée Creg, mais je dois y aller, je devais voir Chris et je t'avoue que seul lui saura me consoler de cette horrible journée..."

Elle se baissa puis l'embrassa sur la joue...

"A tres vite, tu me tiens au courant pour Loann...Envoie lui un mail ou quelque chose, tu auras une reponse j'en suis persuadée..."

Elle se relva puis pris la direction de la sortie du parc, le téléphone à la main au cas ou christopher fasse signe...Puis elle se retourna un grand sourire au lèvre, en lui faisant un signe de la main, elle s'éoignait petit a petit...

[HRPDésolée si c'est pas tip top, mais j'ai du mal, je suis malade, et c'est pas simple de se concentrer!!!]

Creg se sentait beaucoup mieux maintenant qu’au début. Semblerait-il qu’on n’est plus sensible au problème d’autrui lorsqu’on en subit déjà. Emy ne lui avait pas vraiment dit ce qui la tracassait elle. Creg se rendit compte que ça faisait un moment qu’il ne parlait que de lui-même. Si Emy disait que ça lui faisait du bien, c’était probablement mieux ainsi. Quoiqu’il en fût, Creg se contenta de sourire à ce qu’elle venait de dire. Rien n’était à rajouter.

Elle avait pourtant raison, à propos de Loann. Oui, c’était de l’amour et Creg n’e se retenait plus de se le dire. Peut-être qu’avant il avait peur de comprendre se sentiment si compliqué, mais maintenant, c’était passé. Il était, cependant, plus septique au fait que Loann ressentait la même chose pour lui. Creg n’était, malheureusement, par une de ces personnes à discerner les choses subtiles de la vie. Il fallait parfois être directe avec lui. Il n’était pas doué en matière d’amour et c’est pourquoi les petits signes, il ne les voyait pas. De plus, les seules relations (Si on pouvait les compter ainsi) n’avait reposé que sur la popularité.

« J’aimerais que tu ailles raison. Oui, c’est de l’amour Émy. M’enfin, je ne devrais pas trop espérer, ça me brisera.»

Creg fronça alors les sourcils de surprise. La première chicane entre Émy et Raffi, alors? D’ailleurs, avec ce qu’il avait comprit, il els croyait inséparable. Évidemment, les chicanes font partie de la vie et de l’amitié, seulement, Creg n’aurait jamais cru que cela aurait pu porter sur un garçon. En faite, juste entendre le nom de Christopher, lui rappela qu’il ne l’avait jamais vu de tout l’été. C’était plutôt dommage, puisqu’il était son seul ami. Il eut un sourire un peu amusé en pensant à cela. Pour en revenir à ses deux amies, certes, les histoires de fille tournent toujours autour des garçons, mais… enfin, c’est plutôt dommage pour elles.

« Bien, je comprends. Espérons que cet accro ne durera pas longtemps. Tu sais… l’amour passe, mais les amis restent.»

Ensuite, Emy s’excusa et prit son téléphone. Elle appuya sur plusieurs boutons avant de se retourner vers lui. Il fut surprit de la voir reprendre ses choses pour partir. Il ne la retiendrait pas, d’ailleurs. Seulement, il eut droit à une explication aussi vite que crier : Bonjour! Semblerait-il qu’elle allait retrouver Chris. En faite, elle n’avait pas tout à fait tord dans ses propos. Comment aider quelqu’un, si nous sommes autant détruit qu’elle? Creg resta assit en ferma les yeux pour hocher de la tête. Il comprenait toujours les réactions des autres, ou presque. Il reçut son baisé sur la joue.

« Oh t’excuse pas, ça va. Aller, va retrouver ton Don Juan. Et, oui, je te tiens aux nouvelles, enfin… dans la mesure du possible? Au revoir Emy! Prend bien soin de toi… enfin dans la mesure du possible?»

Creg ria, puis fit un clin d’œil à Émy. Elle tourna ensuite les talons pour s’éloigner. Il remarqua ensuite qu’elle s’était retournée pour lui envoyer la main, il en fit autant. Ensuite, Creg porta son regard vers le lac. Peut-être devrait-il donner signe de vie à Loann? Il n’était pas encore près pour cela. Creg resta là un bon moment à réfléchir, puis il rentra chez lui, toujours en pensant. Il ne faisait que cela depuis un moment…

Ce que Creg ne savait pas encore. C’était que le hasard nous réserve beaucoup de surprise. Il fait bien les choses parfois.