Nom: McDorman
Prénom: Noah
Age: 34 ans
Caractère:
Noah est quelqu’un de très froid aux premiers abords. Il n’ait pas du tout du genre à familiariser facilement avec les personnes histoire de les mettre à l’aise, il n’est pas non plus du genre très bavard qui accordent rapidement sa confiance aux gens. Il prend un peu les gens à rebrousse poils, un peu de haut parfois. Il serait capable de vous regarder si vous lui tendez la main s’il n’a pas envie de vous saluer. Il a un caractère de chien comme on dit. Il déteste les lèches-culs, les élèves qui prétendent tout savoir et ceux qui ne font aucun effort. Il leur rendra alors la vie dure pour soit leur faire comprendre qu’on apprend toujours ou alors leur faire comprendre que tout le monde peut faire la philosophie, mais tout le monde ne peut pas philosopher.
Mais sinon, il peut être galant et charmant avec les dames qui le font pas chier xD . Et en général, avec les hommes de sa promotion ou les gens intelligents, il n’y a pas trop de problèmes. Il y a un certain respect, même si il ne s’ouvre pas plus. Il lui arrive aussi de sourire de temps en temps, souvent même. Malgré son sale caractère. Il se sent plus proche des gens délaissés et n’aime pas voir les gens souffrir devant lui.
Histoire:
-….
-Et toi, qu’est ce qui t’a emmené ici ?
Avec un regard lointain pas vraiment intéressé par la conversation et continuant à observer les filles qui papotaient là-bas, il répondit nonchalamment « Ma mère est folle. »
-Nan sans déconner ! Qu’est ce qu’elle a bien pu te faire pour que tu dises cela ?! demande l’autre jeune homme en rigolant sur le ton de la plaisanterie. Noah lève les yeux vers lui, avec un air de dire « J’ai l’air de plaisanter » qui voulait tout dire. L’autre surpris, balbutiait et cherchait ses mots pour s’excuser. Le jeune homme se lève alors et lui tapote l’épaule en lui disant « T’inquiètes, tu ne pouvais pas savoir ». Ensuite il s’en va en direction du groupe de jeune demoiselle qu’il observait tout à l’heure.
Voix Off : RwFwXwPwfiuouieffqsd [Rembobinons la cassette pour tout comprendre]
Un petit bébé, tout fragile, qui pleure à s’en rompre les cordes vocales. Mais s’est tout à fait compréhensible, il vient de naître. On est le 14 Janvier 1972 à la maternité Ste Bernadette dans la ville de New Haven dans le Connecticut. Sa mère toute essoufflée des efforts qu’elle venait d’accomplir dormait d’un sommeil de bébé, la suer collant à sa peau, ses cheveux tout mouillées. C’était un des rares moments où on pouvait l’approcher sans qu’elle vous agresse littéralement ou au mieux, qu’elle ne fasse pas du tout attention à vous. Eh oui, cette jeune femme pourtant d’une beauté si douce et angélique était vraiment atteinte mentalement. Des crises depuis son plus jeune âge, sa tendre enfance. Au temps où ses amies jouaient à la poupée ou à se coiffer, elle, elle passait son temps couchées sur des lits d’hôpital droguée tellement elle avait pris des calmants. Ses parents se lassèrent vite fait de devoir la conduire ici et là pour voir des thérapeutes, de dépenser leurs maigres biens, d’être la risée du quartier. Très vite les promesses de toujours la protéger de sa mère s’envolèrent, un matin, elle partie avec le reste de la famille laissant la petite Annie toute seule, sans personne. Elle avait alors 9 ans. Une de leur vieille servante noire se chargea de la petite. Elle la garda tant bien que mal et s’occupa d’elle comme de sa propre fille, la cajolant et la protégeant de tout. Un amour naquit entre cette petite fille folle et cette vieille servante noire qui boitillait avec sa jambe de bois. Qu’elle drôle de combinaison, trouvait les gens. Mais bon, que pouvait-on y faire, de toute façon quoi qu’il y ait, il y aura toujours quelqu’un qui trouvera à en redire.
Le temps passa doucement, et la petite Annie devint une femme. Une très belle femme d’ailleurs. Malgré le fait qu’elle se promenait souvent seule sous la pluie, effrayait les enfants et grimpait aux arbres, malgré ses haillons qu’elle portait, les hommes de sa ville ne pouvait s’empêcher de l’admirer quand elle passait, et toutes ses femmes en belles tenues de la jalouser. Mais insouciante qu’elle était, elle continuait sa petite vie sans se soucier de personne. Un jour d’orage, elle resta longtemps dehors. Sa gouvernante qui l’avait toujours chérie s’inquiéta de son absence, elle ne restait jamais si tard dehors, elle avait peur du noir. Cette dame inquiète alla signaler à la police, mais tout le monde lui rit au nez. Elle chercha Annie partout où celle-ci avait l’habitude de jouer, sans la trouver. Le lendemain matin, Annie rentra, les vêtements déchirés silencieuse, des larmes séchées sur ses joues boueuses. Sa tutrice la soigna essayant de lui redonner le sourire, mais rien n’y fit. Elle ne prononça plus un mot et resta assise toujours le regard perdue dans le vide s’attrapant le ventre. Cette vieille n’était pas stupide, elle sut ce qui était arrivé à cette pauvre Annie. Elle porta plainte mais rien n’aboutit, l’affaire se tassa vite fait. Neuf mois plus tard, l’enfant était né. Un petit garçon, sa mère refusa de le prendre pendant plus de cinq mois. Il dut rester comme ça sans prénom, jusqu’à ce qu’un jour, sa mère le pris dans ses bras quand il dormait et pleura pendant des heures son fils l’accompagnant très bien dans ses pleurs. Martha accouru en entendant tout ce remis ménage, mais elle resta à la porte à les contempler, contente qu’enfin, elle put toucher son fils. Annie le prénomma Noah, 5 mois après sa naissance. Elle refusait qu’il s’approche tout le temps d’elle dès qu’il fit ses premiers pas. Elle le rejetait sans cesse, il était d’ailleurs la risée de sa ville. Le fils de la folle, et tout plein de surnom. Sa mère devenait de plus en plus folle et violente quand il eut ses 6 ans. Elle fut internée dans un asile. Noah resta quelques mois avec Martha et quand celle-ci était prête à mourir, elle le mit dans un bus en direction de chez sa fille qui vivait à New York. Il resta là-bas toute sa vie. Le seul blanc de la famille, il n’avait pas à se plaindre, ses ‘frères’ le protégeait. Il appelait même la dame maman, même s’il savait que ce n’était pas sa mère.
Quand il eut 15 ans, il alla avec sa classe visiter un asile de fou. C’était celui où sa mère était internée. Quand il la revu, il la reconnut tout de suite, il gardait toujours une photo d’elle sous son coussin et un fils ne pouvait oublier sa mère. Il l’observa à travers la vitre transparente avec tous ses copains qui lançaient des van sur les fous en se marrant. Il resta là à l’observer, quand elle le vu. Elle se mit à hurler Noah, Noah. Les infirmiers l’enfermait pensant qu’elle faisait une nouvelle crise et lui il s’éloigna rapidement en courant pour ne plus l’entendre crier. Il rentra chez lui sans ses copains de classe et dormit sans manger ce jour là. Il se promis alors que quand il serait grand, il ferait tout pour soigner sa mère, pour qu’elle sorte de là.
Ainsi on revient à la conversation du début, Noah était assis dans l’amphi à l’université et son voisin qui avait l’air un peu paumé essayait d’engager la conversation. Quelques années plu tard, il sortit diplômé de l’université. Mais, il n’avait plus envie d’être psychiatre entre temps. Il avait changé sa filière et était plus allé vers la philosophie pour ensuite sortir professeur d’université. Il fit un stage payant à Yale pendant une année et fut engager comme professeur l’année suivante. Il y resta pendant 5 ans, avant d’aller donner des cours à Birmingham, en Angleterre. C’est là-bas qu’il a connu sa femme. Ou plutôt son ex-femme. Ils se sont séparés parce qu’ils en avaient marre l’un de l’autre, ils se disputaient tout le temps et elle le trompait avec le voisin d’en bas. Ils divorcèrent et c’est comme ça qu’il retourna aux USA. Il pris du temps pour se remettre, mais finalement, il déposa son dossier pour être pris dans cette université. Le voilà ici.
Physique:
Noah est brun aux yeux bleus-gris. Il a un regard toujours distant, on a toujours l’impression qu’il est concentré dans l’observation de quelques choses dans le lointain. Par habitude ou par grande réflexion, il a toujours les sourcils froncés, sans qu’il s’en rende compte. Quand il est contrarié, sérieux, ou qu’il lit, son visage à cette même expression. Du coup, on n’arrive pas à savoir ce qu’il ressent vraiment.
Plutôt grand, en tout cas il est loin d’être un nain, il est plutôt bien bâtît. Il s’entretient, il fait du sport d’appartement, du jogging, etc. Il n’est pas musclé au sens propre du terme, mais il a des muscles xD. Brun, cheveux court, il n’aime pas les laissé poussé en tout cas. Il a une peau claire, un peu bronzée mais juste comme il faut.
Loisirs/passions:
Si fumez gagnait des oscars, il y a longtemps qu’il aurait eut tout une étagère de trophées. Il passe son temps à fumez, s’il n’est pas en cours ou en train de faire du sport ou de lire, il fume. Chaque instant de libre. Il s’est très bien que ce n’est pas bien pour lui, mais il ne peut s’en empêcher, c’est plus fort que lui. Il a plusieurs fois essayé d’arrêter, mais bon. On peut dire que c’est une de ses passions ou son loisir préférer. C’est un sportif, il aime bien cogner de temps te en temps. Non pas sur les gens xD. Il fait de la boxe comme activités sportives, il aime beaucoup. Ca l’aide à se décharger de ses émotions. Et bien entendu, il est un passionné de philo, il aime vraiment sa matière. La seule chose qui l’enthousiasme le plus dans sa vie.
Matière enseignée: Philosophie
Célébrité prise: Clive Owen
